Vient un moment dans la vie, après des années de célibat, où les ami(e)s arrêtent de demander si on a rencontré quelqu’un d’intéressant, où la famille présume qu’on ne sera pas accompagné à Noël prochain. Loin d’être blessant, ce constat vient confirmer la réflexion que l’on se fait depuis quelques mois à l’effet qu’il est possible qu’on reste seule pour le reste de la vie. Sans panique ni tristesse, on contemple cette possibilité comme une avenue plausible et on l’ajoute paisiblement dans l’infini des possibilités.
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