Étrangement, ce n’est pas une irrésistible envie de mêler ma peau à la tienne qui m’attire vers toi. Même si la certitude que ce serait délicieux s’ancre de plus en plus solidement en moi. Ce n’est pas une intense impression que la vie serait meilleure à tes côtés, même si mon imagination, me laisse entrevoir un bonheur possible. Ce n’est pas non plus, un irrépressible élan à me fondre en toi. C’est simplement la paix qui m’envahit lorsque tes yeux se posent sur moi, le sentiment d’être chez moi lorsque nous partageons mots et rires, la ferme impression d’être moi, ta douce présence assurée, ta masculinité assumée. Ce sont les doux chatouillements que je ressens sans même que tu me touches qui me poussent à rechercher ta compagnie, à vouloir multiplier ces moments de doux plaisirs. Et simplement les apprécier un après l’autre, sans rien bousculer, en faisant confiance qu’ils nous mèneront certainement quelque part de bien.
30 mars 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Soupir! Ces attentes, ces désirs, ces envies ressemblent curieusement à ce que je vis de mon côté...
Enregistrer un commentaire