10 juin 2008

Puis le corps s'est arrêté

Et-il possible que dans un élan de solidarité, le corps sentant proche la fin du coeur, inhibe lui aussi ses pulsions de désir ? Est-ce dans un soucis altruiste de laisser toute l’énergie nécessaire au cœur afin qu’il conserve un minimum de battements ? Ou est-ce que dans un élan de lucidité, il se rend compte que sans les battements du cœur, les pulsions de désir sont inutiles ?

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