Certaines rencontres sont comme des voyages.
Si on ne s'en aperçoit pas au début, lorsque le Viking se sent prêt à
reprendre la route, on découvre qu’une partie de notre tristesse est liée au
fait qu’en même temps que sa nouvelle aventure commence, la nôtre prend fin.
La réalité qui se transforme, la découverte d’une
nouvelle culture, d’une nouvelle façon de voir la vie doublées du sentiment d’être
chez soi. Le sentiment d’irréalité, les peurs qu’on affronte, les questions qui
émergent. Le sens qu’on donne à sa vie qui évolue. L’espace qui s’étire plus
grand que ce qu’on aura pensé possible. Autant d’exemples qui confirment que
sans prendre l’avion, on a vécu tout un périple et qu’incontestablement on en
ressort transformée.
Reste l’envie des voyages, l’envie de s’ouvrir
au monde et la délicieuse sensation d’avoir enfin ouvert son coeur en plus de
respirer plus profondément que jamais.
Difficile de dire si l’envie de connaître de
nouvelles contrées sac au dos est plus attirante que de revisiter ces grands
espaces, mais les minutes sont comptées avant de se lancer dans une ou l’autre
des ces aventures. Et maintenant que les rêves semblent pouvoir se réaliser, le
fantasme absolu est maintenant de partir sac au dos, accompagnée du Viking et de
son immensité.
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